[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Et si l’on remontait le temps, juste pour voir si ce que l’on nous raconte est vrai ?
Attention, je ne prétends pas détenir la vérité. En fonction de mes recherches, mais pas seulement les miennes, je vous fais part de mes trouvailles pour vous aider à vous écarter des sentiers battus bien trop faciles, et vous aventurer sur les chemins de traverse afin de découvrir des bribes de vérité, et par là même devenir de plus en plus aptes à vous méfier des pièges dangereux et liberticides du mensonge.
Voici une piste intéressante, même si ce n’est pas la seule.
Il y a bien longtemps…
Joseph, fils de Jacob, s’unit à une Mariam, fille de Héli. Parallèlement à cela, le roi Hérode le Grand s’unit à une Mariamné, fille de Menahem.
Peu après, le couple que forme Joseph et Myriam font un enfant. Cet enfant est Jésus, fils de Joseph.
Il est probable que ce Jésus-là a eu un frère, Jésus-Joseph Josué, qui serait né en 33 et mort en 120, et aurait vécu quatre-vingt-sept ans.
Et de l’autre côté, l’autre couple que forment le roi Hérode et Mariamné ont un enfant aussi. Cette enfant de sexe féminin est Mariamné Mygdal-Eder.
Par un heureux choix, Jésus ben Joseph (fils de Joseph) et Mariamné Mygdal-Eder, fille d’Hérode, s’unissent. De ce nouveau couple un enfant est né. Cette enfant est de sexe féminin. On la nomme Sarah-Damaris, ou Sar’h Tamar, fille de Jésus. Elle est née en Palestine en l’an 27 et morte en Gaule, je ne sais pas quelle année exactement.
Mais avant que Mariamné Mygdal-Eder s’unisse avec Jésus, fils de Joseph, elle l’a été une première fois avec Jean le Baptiste, fils de Zacharie le Zadok, qui est mort décapité par les romains en 26. D’avec Jean Le Baptiste, elle a c*nçu un fils qui a porté le nom de Jean ou Yeshua le Tzadik qui naît en 20 et meurt en 118. Il a vécu quatre-vingt-dix-huit ans.
Sarah-Damaris s’unit à son tour, vers l’an 45, avec Anthénor IV, roi de Sicambres. On peut dire que ce roi est pré-mérovingien. Il est né en 21 et mort en 79. Il a vécu cinquante-huit ans.
Ensemble ils c*nçoivent un fils qui est Rathérius et a vécu de 45 à 100. Lui aussi était donc pré-mérovingien. Il est mort à cinquante-cinq ans.
Et nous voici arrivés au moment où l’on découvre que Jésus est bel et bien uni à une Mariamné Mygdal-Eder. Ils ont eu une descendance, qui elle-même s’est unie et a eu une descendance à son tour.
A la mort de son compagnon, selon ce que racontent l’histoire et l’Église, Mariamné Mygdal-Eder a fui le plus vite possible la Palestine. Cette fuite a d’abord commencé par se faire par voie terrestre, en direction de la Turquie actuelle, puis se ravisant à la vue des dangers qui se présentent devant elle, est revenue sur ses pas et vers la Palestine, pour fuir par la mer Méditerranée et en direction du Nord. L’embarcation est affrétée par celui que l’Église Romaine nomme Joseph d’Arimathie. Il est un très riche marchand ayant ses entrées auprès des romains d’avec lesquels il fait commerce, ce qui ne l’empêche pas de tout mettre en œuvre pour protéger ceux qu’il aime, notamment Jésus, Mariamné et leur progéniture.
La fuite de la Palestine se fait sans trop de dommages puisque tout le monde est arrivé vivant et sans dommage en terre de Gaule, dans un lieu où l’on trouve quelques très rares pêcheurs et qui prend le nom, par la suite, de Saintes-Maries-de-la-Mer.
Après une halte bien méritée, la mère et la fille reprennent la route en direction du Nord, traversent la Gaule, traversent la Manche et accostent sur Britania (l’Angleterre). De là, elles remontent Britania en direction du Nord, toujours, pour arriver chez les Pictes, que nous appelons de nos jours les écossais.
Maintenant que nous avons compris l’origine de Jésus et de sa compagne, Marie, tentons de comprendre ce qu’il en est pour l’homme qui est devenu le compagnon de la fille de Jésus et Mariamné, c’est-à-dire le compagnon de Sarah-Damaris (ou Sar’h Tamar) car, finalement, pourquoi le Saint Graal ne se trouverait-il pas là ?
Anthénor IV est le fils de Clodomer III qui vécut cinquante-huit ans, de l’an 4 à l’an 62. Clodomer III est lui-même le fils de Marcomir III. Tous sont des rois pré-mérovingiens.
Anthénor IV est roi de Sicambres !
Les Sicambres sont un peuple germanique, donc celtique à l’origine.
Ce peuple s’est établi au 1er siècle av. JC. Sur la rive droite des fleuves Ruhr et Sieg, qui ont donné leurs noms, par la suite, à deux vallées qui portent encore ces noms de nos jours.
De l’autre côté du Rhin, sur la rive gauche, se trouve un autre peuple qui porte le nom de Aduatuques, avant sa conquête par les romains.
On suppose que ce sont ces peuples qui portent aussi les noms de Cimbres et de Ambrons, noms qui a sans doute été « celtisés » et peut-être bien que leurs chefs ont été Deudorix et Baetorix.
L’empereur romain de cette époque ne les aime pas du tout.
Astérix et Obélix ne s’y trouvent pas mais sont dans un autre tout petit village, à l’opposé, et qui résiste fort bien à l’envahisseur.
C’était pour rire un peu.
Les conquêtes romaines et les mouvements des masses populaires ont mis un peu la perturbation. Le peuple des Ubiens s'est rallié à la cause de Rome et, rien que pour cela, le peuple des Sicambres leur mène une vie particulièrement dure. Ce peuple, de façon éparse, se met à fuir en délaissant de grandes parties de leur territoire, laissant les Sicambres occuper le territoire des Ubiens.
L’empereur romain se voit la moutarde lui monter au nez, pique une colère et déclenche la guerre des Gaules. Il ravage tout, passe le Rhin, fait beaucoup de dégâts, mais se prend quand même une belle raclée et retourne chez lui. Il ne peut pas mettre à bas l’armée germanique des Sicambres.
Deux années plus tard, ce sont les Sicambres qui traversent le Rhin, pour continuer la guerre contre l’envahisseur romain qui vient d’exterminer le peuple des Éburons. Chemin faisant, ils tombent sur le camp de Quintus Cicero, qui réussit à s’en sortir, certes, mais très sérieusement délabré. Ceux-ci crient au-secours auprès de l’empereur qui arrive à grand renfort et force les Sicambres à retourner chez eux, c’est-à-dire de l’autre côté du Rhin, en Germanie, nos cousins germains celtes.
La guerre des Gaules fait rage.
C’est en l’an 8 que Tiberius Claudius Nero (ou Tibère) change la donne. La plus grande partie du peuple des Sicambres est vaincue sur la rive gauloise du Rhin, c’est-à-dire la gauche. Et pour pacifier la zone, il déporte des dizaines de milliers de Sicambres dont beaucoup ont été éparpillés en Gaule.
Les celtes germaniques d’outre-Rhin deviennent désormais des celtes de Gaule, et sont désormais des gaulois.
Tous les celtes, qu’ils soient de l’Europe du Nord, de l’Europe centrale, de l’Europe de l’Est, etc. sont toujours restés, de tous temps, en affinité très étroites les uns avec les autres. Ils commercent beaucoup, notamment avec les romains, se prêtent facilement main forte lorsque c’est nécessaire, notamment contre les romains. Ainsi, les Pictes (Écossais) sont en relation étroite avec les Ligures, au sud de la Gaule.
Et si, sous les recommandations de son compagnon, Mariamné Mygdal-Eder et sa fille Sarah-Damaris ont fait un tel périple depuis la Palestine jusqu’en Écosse, ce n’est certainement pas pour le simple plaisir de musarder de façon bucolique le long des chemins.
Mais alors pourquoi ?
Elles allaient retrouver leur origine… celte !
Il se pourrait bien qu’il reste à faire le lien entre Sarah-Damaris et la lignée qui ouvrit la route à un certain William Saint Clair, Lord de Rosslyn.
Mais remontons beaucoup plus loin encore, ne serait-ce que pour voir la répartition des peuples sur notre globe et, qui sait, peut-être démontrer l’origine celte de Jésus, ou à défaut, du peuple élu car, est-il juif ou celte ?
Noé, notre diluvien patriarche, a eu des fils. Ils sont Japhet, Cham et Sem.
De chacun d’eux est née aussi une descendance.
Cette descendance est la suivante, mais il est nécessaire de bien comprendre qu’il s’agit là, vraisemblablement, beaucoup plus de peuples plutôt que de fils. Par conséquent, pour chacun des noms des fils, des peuples en découlent, et également les territoires qu’ils occupent.
En ce qui concerne Japhet, ses descendants correspondent aux peuples eurasiatiques, c’est-à-dire les peuples indo-européens, les peuples altaïques (turcs), les ouraliens, les japonais et coréens et les eskimos.
Les fils de Japhet sont Gomer, Magog, Madaï, Javan, Tubal, Mashek et Tiras.
Gomer donne naissance aux peuples des germains et des celtes (desquels sont sortis les galates, les gaulois et les gallois). Une expansion a eu lieu et a donné naissance au peuple de Crimée, des ashkénazes, des scythes, des sarmates, des saxons, des scandinaves, des Carpates, des arméniens et des turcs. La naissance des celtes se trouve ici et, de cette façon, on se rend mieux compte de l’importance et de l’étendue du peuple celte.
Magog donne naissance aux peuples des Scythes (aussi), des Magyars, des Finnois, des Estoniens.
Madaï donne naissance aux peuples des Mèdes, des Kurdes, des Aryens, des Indiens.
Javan donne naissance aux peuples des Grecs, des Tarses, Des chypriotes, de Rhodes.
Tubal donne naissance aux peuples des Ibères dont les géorgiens et les Sibériens.
Meshek donne naissance au peuple des Slaves.
Tiras donne naissance au peuple des Thraces (Troyens) et des Étrusques.
Japhet a été divinisé et, grâce aux latins, est devenu Jupiter. Il hérite d'un tiers du monde.
Chez les grecs, il a été transformé en Iapetos qui est le père de l'humanité. Il est aussi l’un des titans et le père d'Atlas et de Prométhée.
En ce qui concerne Cham, ces fils sont Cush, Mitsraïm, Put et Canaan.
Cham donne naissance aux peuples de l'Afrique mais vraisemblablement aussi les peuples chinois et mongoloïdes.
Cush donne naissance à l’Éthiopie, au nubiens (Soudan) et l’Afrique Noire.
Mitsraïm donne naissance aux égyptiens, aux philistins et aux crétois.
Put donne naissance à la Lybie, aux berbères, et aux peuls.
Canaan donne naissance à Sidon (les Phéniciens dont les carthaginois), aux amoréens, aux héviens, aux hitittes (peuples turcs) et aux siniens (les Chinois).
En ce qui concerne Sem, ces fils sont Elam, Loud, Arkpashad, Aram et Assur.
Elam donne naissance aux élamites et aux Perses (civilisation de la vallée de l'Indus).
Loud donne naissance aux lydiens (Anatolie).
Arkpashad donne naissance aux chaldéens et aux hébreux (dont les juifs et les arabes).
Aram donne naissance aux syriens et aux araméens.
Assur donne naissance aux assyriens.
C’est de Gomer, fils aîné de Japhet, lui-même fils de Noé, que vient le nom de Galatie, donc des galates et, par extension, des gaulois par les celtes.
La Galatie est une région historique de l’Anatolie (sur le plateau de l’Asie Mineure).
Le nom de ce peuple, les Galates, les Galias puis les Gaulois vient de la partie du peuple celte qui a migré, dans l’antiquité, et s’est étendu vers le Sud-Est puis le Sud, aux alentours de 300 à 250 av. JC.
C’est ainsi que le pays de Canaan, cher à la Sainte Bible, s’est retrouvé colonisé, envahi, par les gaulois et qui a fait que le type caucasien est très largement représenté dans cette contrée du monde, au point qu’il n’est pas rare d’y trouver des hommes et femmes blonds avec des yeux clairs, voire verts et bleus. Il ne s’agissait pas d’une invasion guerrière mais plus simplement d’une expansion démographique provoquée par un peuple particulièrement curieux et, ayant constaté que la douceur de vivre en Canaan était de loin plus agréable que sous les contrées scandinaves ou de l’Europe centrale ou de l’Est.
Le coin est chaud, douillet, bon et agréable ?
J’y suis, j’y reste !
L’étendue du territoire sur lequel vivaient ces celtes était véritablement immense et, il me semble, dépassait l’étendue de l’empire romain au moment de son apogée.
Et lorsque plus tard, autour du très célèbre lac de Tibériade, est venu enseigner un homme dont on dit qu’il s’appelait Jésus (et qui n’était pas du tout juif), les celtes y avaient construit leur nid depuis déjà plusieurs générations.
Il existe de nos jours des études scientifiques qui ont été menées afin de se rendre compte comment sont groupées les populations du monde en étudiant les groupements des ADN. Ce qui est amusant, c’est que ces groupements correspondent aux répartitions citées plus haut, lesquelles correspondent à ce que la Sainte Bible nous raconte à partir de Noé, des fils de Noé et des fils des fils de Noé.
Les sciences, selon l’ADN, nous disent exactement la même chose que la Bible.
Et l’on parle d’un homme blond aux yeux bleus, au nez aquilin et qui avait un charisme exceptionnel, enseignant tant de choses…
Imaginons ceci !
Imaginons que cet homme avait pour compagne, une femme dont l’enseignement égyptien était immense !
Mais alors ?
Si cette femme était d’origine égyptienne, ceci signifie que la tribu de Japhet, par lui, et la tribu de Cham, par elle, sont réunies, mais pas celle de Sem qui regroupe les juifs et les arabes.
Pourtant, cet homme parlait bien l’araméen nous dit-on ?
Après-tout, peut-être était-ce plus simplement parce qu’il parlait cette langue, comme il parlait le grec, l’hébreu et le latin.
Et à comprendre ceci, on dirait bien que le peuple élu ne semble pas être celui qu’on nous désigne, mais plus exactement l’immense peuple des celtes.
Alors, est-ce que le doute subsiste encore sur le fait que Jésus n’était pas juif ?
Affinons un peu plus notre raisonnement.
Jésus était-il celte ?
Selon moi, oui. Les origines de Jésus sont celtes.
Dans ce cas, la donne est vraiment changée et il y a fort à parier que Jésus était blond, ou châtain clair, et avait les yeux bleus. Sa maman, qui fut reconnue comme Sainte Anne par la suite, était bretonne.
Cette affirmation peut sembler être une blague et pourtant elle n’en est pas une.
Mais alors... si Jésus est celte, blond et avec des yeux bleus, cela correspond également superbement avec des expériences de médiumnité que certains ont pu avoir et dont les descriptions pourraient être confirmées avec ce qu’ils ont vu.
Selon l’Histoire de la France, les Ligures sont les premiers habitants de la future Gaule.
Tous les spécialistes ne sont pas forcément d’accord sur le sens du nom Ligure. Pour certains, il proviendrait du grec « ligue », pour d’autre sa racine serait « liga » qui signifie « marais ».
Un autre sens est celui d’ « Aour » qui signifie la lumière « aurorale » des premiers jours de la création associé à « Lig ». Lig avec les voyelles permutantes devient le dieu Lug des Gaulois qui donna son nom antique à la ville de Lyon (Lugdunum)... La fête de Lug est le 8 décembre, durant laquelle la Vierge Marie (le Mère, la Mater, la matière) est présente. Cette fête précède celle de Noël… annoncée par l’étoile
En grec le mot Loug devint le Logos. Les Ligures sont donc le peuple du Logos, ce qui fait de la Gaule, et de Lug véritable capitale de la France, le pays de la « Lumière » du Verbe, par laquelle l’émergence de la connaissance se fait et se répand.
Le cardinal de l’Église Catholique Romaine détient aussi le titre de Primat des Gaules. C’est toujours vrai actuellement.
Les Gaules représentent une immense étendue de territoires puisqu’elle comprenait la plus grande majorité des pays d’Europe. Et par ailleurs, une fois encore cette Église Catholique se fait voleuse et usurpe le titre de Primat des Gaules puisqu’il n’a rien à voir avec le catholicisme. C’est un titre qui se rattache à l’Église Gallicane. Il n’y a aucune ambiguïté possible, l’Église Gallicane est spoliée par l’Église Catholique, prête à toutes les hontes pour prendre la place de tout le monde, partout où elle le peut.
Le titre de « fille aînée de l’Église » n’appartient pas du tout à l’Église Catholique mais à l’Église Gallicane. Ce titre avait été donné par le Primat des Gaules parce que la Gaule (France) faisait diligence pour aller secourir le pape lorsqu’il était attaqué.
De plus, lorsque certains apôtres, les Maries, Joseph d’Arimathie, etc. débarquèrent aux Saintes-Maries-de-la-Mer avec les restes de Ana (ou Sainte Anne) qu’ils déposèrent à Apt (où ils sont encore), ils fondèrent la première Église des Gaules bien avant que ne naisse l’Église Catholique Romaine. Ceci justifie encore plus le titre de « Fille aînée de l’Église ».
Il est à noter qu’il est très probable que le prénom de Ana provienne de Dana, déesse celtique de la nature.
Un peu plus tard, les bretons demandèrent les restes de la grand-mère de Jésus à Charlemagne, car ils ont une grande dévotion envers elle. Là aussi nous avons une démonstration des origines celtiques de Jésus, petit-fils de Anne. Il existe des légendes qui attribue la paternité bretonne de la Vierge Marie et Joachim n’aurait été que son père adoptif.
Comme nous l’avons vu précédemment avec Noé et ses fils et petits-fils, les celtes descendent de Japhet, fils de Noé, et viennent d’Asie Mineure pour fusionner avec les Ligures, tout en prenant le nom de Gal, Gaël, qui est une inversion du nom « Lag », et qui désignent les Ligures. Cette fusion eut lieu environ mille-six-cents ans avant notre ère.
Dès lors, d’une certaine façon l’on peut dire qu’un nouveau peuple est né. C’est le peuple de la nation gauloise. Un nouveau royaume immense en découle, avec à sa tête un roi nommé Ambigat connu pour avoir été très riche, très puissant et très brave. Il gouverne la multitude depuis sa ville Avaric, l’une des plus belles et grandes de cette époque, avec sans doute environ quarante-mille habitants.
Une fois ce roi devenu trop vieux, ce sont ses neveux qui prennent la suite avec Bellovèse et Ségovèse. Chacun lève une armée de cent cinquante mille hommes. Ségovèse prend ses guerriers parmi les Volques Tectosages qui vivent sur les rives de l’Atax (l’Aude) et part vers le midi, tandis que Ségovèse part vers l’Orient.
L’armée de Ségovèse conquiert Rome et continue son avancée en Macédoine puis en Grèce, où elle occupe le sanctuaire de Delphes dont elle pille le trésor. Un détachement de guerriers est chargé de ramener une grande quantité de chariots pleins d’or au pied des Pyrénées, patrie des Volques Tectosages. Cette énorme fortune a été sans doute dissimulée près de Rennes le Château selon la légende. Il est probable que ce soit l’origine de la fortune du curé Béranger Saunière et de bien d’autre de ses collègues devenus anormalement riches.
Pendant que ce trésor part vers la Gaule, l’armée de Ségovèse quitte Delphes et poursuit sa course pour se rendre en Asie mineure où elle implante des colonies portant le nom de Galatie et de Galilée. Ils arrivent jusqu’à Constantinople ou ils laissent la trace de leur passage puisqu’un quartier porte le nom de Galata. Aujourd’hui, dans la ville d’Istanbul, en Turquie, ce quartier de Galata existe toujours.
Selon l’abbé Boudet (son livre « La vraie langue celtique et le Chromlech de Rennes les bains): « Gomer est la souche de la grande famille celtique, et saint Jérôme ainsi que Joseph n’hésitent pas à appeler ses descendants Gomériens et Cimmériens. Les Galates établis en Asie appartiennent, d’après saint Jérôme, à la même famille cimmérienne ou cimbrique. La plus grande partie de ces Galates étaient des Tectosages, venus du midi de la Gaule à la poursuite d’aventures guerrières. »
Dans la revue Ave Caesar (1900), Boyer d’Agen écrit que les Gaulois sont descendus jusqu’au pays de Salomon et ont exploré la Palestine qui avait, par sa végétation luxuriante et la beauté de ses paysages, attirés certains d’entre eux qui s’y sont établis. Cette colonie gauloise s’appela par la suite la Galilée. Les Galiléens, descendants des Gaulois étaient différents des Hébreux par leurs mœurs, leur vie tranquille de pêcheur sur les lacs de leur pays d’adoption. Leur aspect physique était différent de celui des hébreux puisqu’ils avaient les cheveux blonds et souvent les yeux bleus.
Face à cette compréhension que les gaulois ont fondé la Galilée, l’éternelle question, de plus en plus légitime, se pose quant au plus célèbre de tous les galiléens.
Jésus était-il Juif ?
Selon mon analyse, il n’est pas du tout juif mais est un gaël.
Et il n’y a pas que moi qui le pense. L’origine gauloise de Jésus est soutenue par plusieurs auteurs dont Paul Le Cour dans son livre « Hellénisme et christianisme » ainsi que par M. de Lafont auteur de l’ouvrage « Les Aryas de Galilée et les origines aryennes du christianisme (1902) ».
Et forcément, l’Église Catholique Romaine s’en défend et persiste son endoctrinement en enseignant que Jésus est un juif, prenant pour preuve l’ancien testament, lequel peut être maintenant remis en cause.
Et pour perdre un peu plus ses fidèles, cette Église Catholique parle d’un Jésus-Christ. Jésus est un homme. Christ n’en est pas un mais plus simplement une notion divine non personnifiée et, par conséquent qui n’a pas de nationalité, quelle qu’elle soit.
Avec ce nouvel éclairage, la donne est fondamentalement changée. Selon Moïse, confirmé par les égyptologues, les chrétiens sont égyptiens. Selon ce que l’on vient de voir, par Jésus les chrétiens sont gaulois.
Il faut reconnaître qu’un beau coup de pied dans la fourmilière du catholicisme est donné.
Nous ne sommes pas du tout judéo-chrétiens.
Nous sommes égypto-celto-chrétiens.
Et pour finir de verrouiller cette assertion, le mot « samaritain » est tout simplement pour montrer la non appartenance, l’étranger.
Or, à plus d’une reprise, Jésus a été interpelé par « on voit bien que tu es un samaritain ».
À ma connaissance, il n’existe aucun document affirmant indubitablement que Jésus est un juif. S’il en est un, alors sa mère en est une. Là encore, aucun document non plus n’existe l’affirmant.
Un autre détail amusant, c’est l’imagerie qui représente Marie montée sur un âne lors de la fuite d’Égypte, tandis que Joseph est à pied à ses côtés. Selon les sémites, c’est l’homme qui est sur l’âne et non l’inverse. Cette tradition est toujours actuelle.
L’endoctrinement catholique nous rabâche que le plus célèbre de tous les juifs est Jésus. Il est bien plus raisonnable de dire que c’est un gaulois, Volques-Tectosage du midi de la Gaule (pyrénéens), descendant de Japhet, fils de Noé.
Tout ceci explique beaucoup mieux et plus facilement le débarquement aux Saintes-Maries-de-la-Mer de tous ces hauts personnages qui sont venus retrouver leurs racines.
Partant de là, le mystérieux Saint-Graal (Sangréal, Sang Real, Sang Royal) … et le fameux trésor de Redae (Rennes le château) …
Est-ce toujours aussi farfelu ?
Ceci en l’état actuel de mes connaissances et sans prétention aucune. Ce que je sais aujourd’hui, j’en suis sûr, mais je ne peux jamais être sûr de ce que je vais découvrir et comprendre demain. Le demain est un aujourd’hui à venir et que je n’ai pas encore pu vivre.
Pour celles et ceux qui ont des oreilles pour entendre et des yeux pour voir.